Je vais confiant au jour aiguisé de
rayons
Et comme on dit familier le soir
« à la fraîche »,
J’y vais à la lucide ! Amusé du
lucane
Qui court sur ma paume en serrant ses
pinces,
Je vais heureux d’instinct à la vie
hérissée.
Chuter n’est pas l’envie. C’est un
ciel qui me pousse
Vers le ravin ou la forêt criblée de
fosses,
C’est un œil souriant qui me ramène à
la ruche
Et fait de moi le contemplateur des
abeilles,
C’est un lys qui m’ouvre à la pensée
des fous,
C’est un chien d’or qui me guide au
puits de la Goule
Et c’est un roi couronné de pissenlits
Qui me livre à sa plus jeune armée.
Il faut un cobra dans la maison. Sans
doute
La neige est fautive de son blanc
Et l’épure a cinq cents profils
effrayants.
L’austérité (écoute, ami de ces pages)
Brandit les boucliers froids du
prestige
Mais elle est la carcasse écartelée
des peureux.
...plagiat de Herbert Léonard ...
RépondreSupprimersigné: l'anonyme toujours pas démasqué...
bon bah à lundi alors ...
Comment vas-tu, l'Anonyme?
SupprimerSi tu reviens en France cet été, n'oublie pas de me faire signe. On ira prendre un verre et écouter de la musique de rue. Pour le plaisir...